×

Veuillez désactiver le bloqueur de publicité SVP!

Vous n'aimez pas la publicité dans les pages, nous le comprenons bien! Par contre, un site d'information sans pubicité ne pourra pas survivre sans revenu publicitaire.

A Samuel Mvondo Ayolo : « Sam, tu brilles trop… Nous n’aimons pas ça chez nous ! »

Samuel Mvondo Ayolo, Ministre Directeur du Cabinet Civil de la présidence de la République du Cameroun Crédit photo: PRC

C’est un texte poétique publié par l’écrivain Marc Fidèle Minkoulou, en soutien au Directeur du Cabinet Civil de la Présidence de la République, Samuel Mvondo Ayolo qui, depuis quelques temps, fait face à une cabale sans précédente.

Très pris ces temps derniers, entre travaux champêtres au village et déplacements pour mes petites activités intellectuelles (oh, je me remets à mes amours d’enfance : l’écriture !), je ne suis que très furtivement sur la toile.
Qu’importe, mes enfants, followers actifs, m’informent sans cesse des événements qui animent les réseaux sociaux.

C’est ainsi que des nouvelles de la cabale violente et injuste contre toi me parviennent.
 NTI MINISTRE,
Mon cher Samuel,
Il m’est difficile de rester indifférent, devant de telles attaques dont tu fais l’objet ! Toi, un homme juste, élevé dans la rigueur morale et la dignité, la sobriété, le respect des valeurs humaines et le détachement.
Je te suis, certes au loin, depuis de longues années.
Tu n’as pas changé. Tu es resté fidèle et conforme à ton éducation : un homme d’une absolue simplicité, courtois, chaleureux et affable, altruiste et raffinée, oui, toujours très élégant.

Surtout, je te sais très loyal, dévoué et fidèle à l’homme qui a fait de toi ce que tu es devenu depuis de longues années, ”LE GRAND CHEF”, le Patriarche Paul BIYA.
Je ne sais pas comment tu prends toutes ces attaques ourdies contre toi par ceux qui te jalousent et espèrent par là, te faire tomber, mais je sais une chose : ta rectitude morale et ton bon cœur plaident pour toi !
J’ai des centaines de témoignages positifs à ton sujet, qui me parviennent des Camerounais de tous bords.

Monsieur le Ministre, mon cher “Sam”,
Ceux qui te persécutent, qu’ils soient de ta famille ou de l’extérieur, des milieux politiques ou administratifs, de ton village, ou ailleurs dans le pays, ne PEUVENT PAS ENTAMER UN IOTA DU DON DE DIEU EN TOI.

Je voudrais ici, emprunter à l’artiste de génie, EBOA Lotin, ce poète de la vie, qui éblouissait notre génération de SON DON DE DIEU ET DE SES TALENTS, tu t’en souviens !
Oui, emprunter à EBOA Lotin, pour te dire : “Sam”, TU BRILLES TROP ET NOUS N’AIMONS PAS ÇA CHEZ-NOUS !

Si je puis me permettre de paraphraser EBOA Lotin, j’ajouterais : ceux qui te font des chantages, te calomnient et t’offensent, iront même jusqu’à demander que le GRAND CHEF te retire sa CONFIANCE… Ils rêvent de te voir chavirer !
Jaloux et haineux, ils vivent mal ton brio !
”Sam”, travailles toujours avec acharnement, ne changes pas.
Que ces méchancetés humaines ne tournent nullement ton cœur. Sois toujours toi-même…
Ton savoir-faire, et, ton savoir-être, t’attirent des Jalousies, très bien,
voici mon conseil, ”Sam”, vas-y, sois encore plus brillant, ta mission auprès DU GRAND CHEF, vas-y avec encore plus de rayonnement.

Pour finir, puis-je m’inspirer de FAM NDZENGUE, un autre artiste musicien de talent, pour illustrer mon propos ?
C’est que, il y a quelques années, FAM NDZENGUE, s’exclamait, dans une chanson suave et ô combien dansante, s’adressant au Président de la République…
“C’est même comment, très digne et distingué fils de Mvomeka’a, vous faites tellement du bien aux gens, vous faites tant de bien aux hommes, mais des gens à qui vous faites du bien, veulent toujours vous faire du mal !
Vous avez un cœur bon, un cœur plein d’amour, un cœur de bien, mais, ceux que vous aimez, s’emploient toujours à vous faire du mal !”
MASILI BIYA NA YA, YENE OMAN MBO BOT MBENG, BOT BAYOK WA VE ABE ?
Pour paraphraser FAM NDZENGUE,
”Sam”, tu as un cœur bon, les gens veulent te faire du mal, ils ne s’en sortiront pas !
Bien à toi “Sam”.

Ton camarade d’enfance, NNA MINKOULOU Fidèle Marc O.