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Affaire fonds Covid : La belle claque de Armand Okol à Sismondi Barlev Bidjocka

C’est un texte au vitriol que Armand vient d’opposer à Sismondi Barlev Bidjocka. Ce dernier dans son édito s’est insurgé contre Cabral Libii, l’accusant d’avoir gagné des marchés de gré à gré au Ministère de la santé publique dans le cadre de la lutte contre le covid-19.

Au passage, Armand Okol ne se fait pas prier pour donner quelques règles de déontologie journalistique à Sismondi Barlev Bidjocka.

JE RAGE CONTRE L'ASSASSINAT DU PLUS BEAU MÉTIER DU MONDE.

Je viens d'écouter un verbiage nauséeux et nauséabond qui circule sur la toile.

L'auteur qualifie prétendument ce machin d'éditorial.

Seigneur, pardonnez leur, car ils ne savent pas ce qu'ils font.

C'est vrai que j'ai mis en berne la pratique du métier depuis quelques années, mais très honnêtement, ce truc de l'avis de vrais journalistes ne peut et ne pourra jamais s'apparenter au style journalistique réservé aux doyens de cette ô combien noble profession qu'on appelle l'éditorial.

Car il n'a rien, mais absolument rien de comparable aux textes de haute qualité, j'allais dire aux mémoires vivantes que lèguent habituellement à la postérité les respectables aînés Haman Mana, Georges Alain Boyomo, Xavier Messè À Tiati, #Alain_Belibi, #Valentin_Siméon_Zinga, et la liste est loin d'être exhaustive.

L'éditorial pour qu'on s'accorde sur les minimas, c'est la position tranchée, non pas d'un individu lambda, mais d'une rédaction toute entière sur un sujet de portée générale. L'éditorial édifie donc le lecteur, l'auditeur, le téléspectateur ou l'internaute sur l'avis, la perception, l'orientation qu'accorde un média à un fait d'actualité social ou sociétal.

Non pas un pamphlet orienté vers un individu lambda, fût-ce même une personnalité publique connue et reconnue.

Dès lors, un éditorial ne saurait s'accommoder du JE... J'AI... et tout ce qui se réduit à tout relent individuel et individualiste, car aussi important et robuste pourrions-nous être, un média (qui renferme une foultitude d'activités de chaîne) ne saurait reposer sur un et un seul individu.

Pourtant dans le machin qui a été balancé dans les réseaux sociaux, fatalement pour nuire et porter atteinte à l'image et à la notoriété d'une personnalité publique et de son organisation politique, le pistolero de la première à la dernière minute dans son bavardage de tintamarre emploie exclusivement la première personne du singulier, donc parle unilatéralement en son nom propre.

Mais là où le bât blesse, tout ce qui prouve à suffire qu'il est dans une opération ourdie de cabale et de dénigrement c'est l'explication bancale qu'il donne pour justifier sa faute professionnelle intolérable et impardonnable selon la déontologie et même l'éthique du métier.

Le saltimbanque (le mot n'est pas assez fort) dit être rentré en possession de deux documents dont le premier mentionne le nom de sa cible tandis que le deuxième n'a pas trace du patronyme en question.

Il affirme donc avoir voulu recouper cette information en essayant de joindre le prétendu mis en cause via le téléphone. Vous noterez au passage qu'en guise de recoupement d'une information, il s'est contenté selon ses propres dires de quatre appels laconiques dans un intervalle de moins d'une heure.

Le journaleux n'a même pas été foutu par principe de recourir au simple protocole d'interview enseigné dans toutes les écoles de journalisme comme préalable au recoupement d'une information, et ça se dit éditorialiste. De mes couilles...

Pour se donner bonne conscience, le chasseur de scoops dit avoir pris la décision de passer à l'action à cause du refus de prendre le téléphone de son mis en cause, et là je tombe des nues, en imaginant ce que serait devenu le monde si ces milliers de journalistes à travers la planète qui se donnent parfois des mois voire des années pour recouper une information (qui n'est parfois qu'un chiffre, une date, etc...) avaient eux-aussi la gâchette aussi facile en passant outre les règles du métier!

La totale c'est lorsqu'il dit n'être pas un Dieu (sorcier) pour savoir lequel des deux documents en sa possession est l'authentique. Le comble.

En français facile, voici le scénario: un "journaliste" est contacté par une source lambda qui lui fait un "kongossa" en lui remettant deux brouillons où sur l'un un nom est mentionné et sur l'autre le nom n'y est pas. Un, deux, trois, coups de fils rapidement passés à cette personne, pas de réponse, débat clos, et bam, place à l'éditorial.

Seigneur, Jésus, Marie, Joseph et tous les Anges!

Honnêtement, il faut sauver la profession du gangstérisme et des minables et misérables tueurs à gage qui là pollue.

Il y'a vraiment péril en la demeure.

Le rubicon est franchi.

Des pestiférés sans foi ni loi ne peuvent pas prendre aussi impunément en otage un métier aussi noble.

traîner aussi facilement dans la boue d'honnêtes citoyens juste par aigreur et jalousie chroniques.

Il faut s'insurger sans vergogne contre ces pratiques machiavéliques de mercenaires de la presse passés maîtres dans l'art de:

Diffamer,

Calomnier,

Vilipender,

Ternir l'image,

Vouer aux gémonies,

Jeter à la vindicte populaire...

À la Corporation de s'organiser en instituant un véritable et solide tribunal des pairs pour une rigoureuse et sévère autorégulation.

Aux organismes institutionnels de régulation de sévir avec la dernière énergie en attendant.

À la justice de faire son travail, sans état d'âme.

Armand Okol,

Journaliste de formation,

Mis en disponibilité au service de la Nation.