×

Veuillez désactiver le bloqueur de publicité SVP!

Vous n'aimez pas la publicité dans les pages, nous le comprenons bien! Par contre, un site d'information sans pubicité ne pourra pas survivre sans revenu publicitaire.

cameroun-crise anglophone: la surprenante vérité

La crise anglophone qui a commencé en octobre 2016 s'est développée et a évolué au point ou certaines personnes sont appelées terroristes.

Elle a commencé avec la grève des avocats suivie de la grève des enseignants et celle des étudiants de l’université de Buea le 28 novembre. Bien que les raisons de toutes ces manifestations n’aient pas été les mêmes, il est important de noter qu’elles ont beaucoup contribué à l’approfondissement de la crise ; Des simples grevés au problème anglophone et plongé plus tard à une crise sans envergure. Le mot du gouvernement selon lequel il existerait un agenda caché dans lequel tout était prévu jusqu’à présent, pourrait être indubitable. Selon une autre opinion, le problème ou la grève est historique.

 Par conséquent, une brève histoire montrera qu'après l'indépendance des deux parties en 1960, une partie du « southern Cameroon » a voté pour rejoindre le Nigéria et une autre a voté pour rejoindre la République du Cameroun qui avait déjà obtenu son indépendance. Lors du plébiscite de foumban en 1961, ils ont formé ce que nous appelons aujourd’hui la république du Cameroun. Le gouvernement du « southern Cameroon » a choisi de rejoindre la partie nord du Cameroun, alors que certains membres de son gouvernement n’étaient pas du même avis. Ce camp a ainsi grandi et a enseigné à leurs enfants leur vision qui se poursuit aujourd'hui sous forme de grève, de problème et de crise.

Aujourd'hui, la crise est allée plus loin et plus fort que jamais. Les villes mortes se sont intensifiées. Par exemple, tous les lundis dans la ville de Buea, les magasins, les moyens de transport et de nombreuses autres activités sont interrompus. Même les habitants de la ville ont peur de sortir, craignant que leur véhicule ou leurs magasins ne soient brûlés par des inconnus. Par exemple, le lundi 9 juillet 2018, un bus de transport a été brûlé.

Que faire ?

Comme solutions proposées et les voies à suivre, les Camerounais, la diaspora, l'ONU, les autorités religieuses et bien d'autres ont proposé le dialogue comme solution unique à la catastrophe sociale. Bien que le gouvernement ait fait valoir qu’il n’y avait pas de dialogue avec les terroristes, il est certain qu’aucun conflit n’a été résolu par la violence ; parce que la violence engendrera toujours la violence. Par ailleurs, une liaison franche des corps religieux pourrait être la meilleure action pour mettre fin au bourbier sociopolitique qui fait preuve de psychose au fil des jours.