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Cameroun : Francis Bonga se forme en bouclier autour de Samuel Eto’o, tire sur Moussa Njoya, Boris Bertolt, Valsero, et autres

L’ancien journaliste de Vision 4, Francis Bertrand Bonga, très proche d’Ernest Obama, vient de publier un texte au vitriol contre ceux qui s’opposent à Samuel Eto’o, dans les réseaux sociaux

"Ils s’appellent Moussa Njoya, Boris Bertolt, Armel Stéphane, Valsero, Sandy Boston, Hogo Bossoken, Arol Ketch, Ilias Kpoumie, Mamadou Mota, Okala Ebode, Joseph Emmanuel Ateba, Darling Nguévo, Christian Ntimbane Bomo, Mohammadou Idrissou, Paul Chouta, Shance Lion, Joel Désiré Engo, Félicité (Nkolo) Zeifman, Valentin Siméon Zinga, Benjamin Zébazé, etc.

 

Qu’ont-ils en commun ? Rien si ce n’est que, derrière leur clavier, ils livrent une gue.rre sans merci à Samuel Eto’o, un « ennemi » qui ne leur a pourtant rien fait. Pour eux, c’est presqu’un un jeu dont les réseaux sociaux sont le bac à sable. Toutes les deux ou trois heures, ils lui balancent un obus et se délectent des commentaires extasiés de leurs followers.

 

Certains, à l’instar de Boris Bertolt ou Ntimbane Bomo, ont transformé cet espace de liberté en ring de boxe. Que dis-je, la boxe étant un combat très réglementé, il s’agit davantage de MMA. Tous les coups y sont permis. Ils disent user de leur droit à « critique ».

Il parait qu’exercer le « droit à la critique » c’est affubler Samuel Eto’o de surnoms disgracieux tels que « Dadis Camara » ou Sam Soya ». Exercer le droit à la « critique », c’est traiter de « Bandit », de « Feyman », de président de la « Feycafood » le seul Came rounais dont la fortune est à 1000% traçable, parce qu’elle s’est construite sous nos yeux, au fil d’une carrière exceptionnelle,. Même si toutes leurs prévisions apocalyptiques tombent à l’eau les unes après les autres, ils ne s’arrêtent pas, ne s’excusent pas auprès de leurs lecteurs, ne se remettent jamais en cause. Ils passent juste à la prochaine ignominie.

 

Admettons que, dans une acception toute camerounaise, ce concert d’insultes relève du « droit à la critique ». Admettons ! Mais à force de répétition, à quel moment la « critique » devient-elle harcèlement ? Savez-vous que ce garçon, Samuel Eto’o, est un Humain fait de chair et de sang ? Savez-vous qu’il a des proches qui souffrent de regarder leur époux, fils, frère, ami, se faire insulter parce qu’il a osé rentrer dans son pays pour lui rendre ce que ce pays lui a donné ? Savez-vous combien de personnes vous blessez par vos propos injurieux ? Avez-vous envisagé une seconde que la majorité silencieuse de ce pays désapprouve votre harcèlement ?

 

On ne peut pas parler de tous. Mais prenons le MRC, ce parti qui a lancé ses militants contre Samuel Eto’o. La stratégie ? Insulter, avilir, sous prétexte de « droit à la critique », lui, le dirigeant sportif qui ne fait pas partie de la sphère politique, n’a pas de parti politique, n’a même pas d’ambition politique déclarée, n’a jamais attaqué l’opposition, ne parle que de football. Pour son malheur, Eto’o est populaire. Il ne devrait pas. Parce qu’il fait de l’ombre à Maurice Kamto. Ce dernier doit être le seul Camerounais aimé de tous les Camerounais.

Mais Chuuuut ! Il est interdit d’associer Kamto à ce fleuve de boue. Lequel, n’a d’ailleurs jamais été exposé au même « droit à la critique » brandi par ses troupes contre leurs ennemis imaginaires. Il est interdit de prononcer son nom, même si tout son réseau est sur le pied de gue.rre : les soi-disant influenceurs, qui ne sont en réalité que des « robinets de Fake news », en passant par les activistes-extré.mistes-viol.ents de la BAS jusqu’aux membres du directoire… Tous sont embarqués dans une aventure si peu honorable qu’elle en devient pathétique.

Et ils disent faire partie du camp du changement … Tout en ayant recours au har.cèlement, au men.songe, à la calomnie. Bref, tout ce à quoi les Cam.erounais essaient d’échapper depuis 40 ans.

 

Sous nos yeux, une gue..rre civile se livre mais nous regardons ailleurs. C’est une gu..erre livrée aux Cam..erounais par une minorité plus ou moins instruite mais visiblement en échec professionnel, en déshérence affective mais ô combien nui..sible à l’intérêt national