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Cameroun-Opinion : Dieudonné Essomba tacle Patrice Nganang et le qualifie d’« écrivain de la boue »

C’est dans un style épistolaire plutôt dur que l’économiste Dieudonné Essomba s’est attaqué à l’écrivain américano-camerounais Patrice Nganang. Selon l’économiste statisticien très suivi sur les réseaux sociaux, Patrice Nganang n’est qu’un « écrivain de la boue » qui « souille toute une noble communauté de l’Écriture noire ».

Ci-dessous l’intégralité de ses propos

Quand je regarde cet homme qui se dit écrivain, je vois en lui la crasse d’une broutille d’intelligence qui souille toute une noble communauté de l’Écriture noire déjà très peu considérée par d’autres races comme étant des Êtres pensants capables d’élever l’humanité au rang de l’homo sapiens. De quoi donner raison à certains éditeurs français qui, jusqu’aujourd’hui, refusent à tout jamais de publier des écrivains Noirs. Parce qu’ils considèrent que ceux-ci sont encore des êtres sans véritables âmes.

C’est peut-être venu le moment ici de leur donner raison. Même si pendant très longtemps, les partisans du complot de la supériorité de race blanche sur la race noire ont ravivé les débats. Et pourtant, cela se voit aujourd’hui et ne souffre d’aucune ambigüité. La preuve est là. Sous nos propres yeux. Palpables, vérifiables.

Les publications que cet écrivain de la boue fait sur les réseaux et le chaos qu’il fabrique à longueur de journée à l’attention d’un peuple comme celui du Cameroun dont il ne partage pourtant pas la nationalité, relèvent de tout ce qu’une intelligence humaine peut accepter de supportable. Ich ! Le strapontin égaré tel un chien enragé, pense orchestrer une guerre civile dans un pays qui reproche tout de son chef mais qu’au nom du vivre-ensemble, rejette l’explosion sociale comme unique moyen de changement politique.

Pour faire court, les camerounais refusent le changement par les armes. Le culte de la mort et l’acceptation de la violence étant pour eux tout ce qu’un esprit qui pense répugne. A la lecture donc de la théorie darwinienne, il ressort que ce genre d’esprit n’a pas encore atteint le stade supérieur de l’évolution des espèces pour pouvoir les appeler Hommes.

Cet écrivain n’est alors qu’un chien à l’image de la titraille de l’ouvrage qu’on aurait écrit pour lui et qu’on ne l’appela que pour faire des autographes devant une multitude de journalistes qui devraient servir à la longue les besoins de cause dont il prétend défendre aujourd’hui : le chaos généralisé qu’il ne réussira jamais. Sur l’honneur, je parie !