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Cameroun-Succession de Victor Fotso : Christelle Nadia Fotso met à nue Gérémi Njitap et son épouse Laure Toukam Fotso

Christelle Fotso

Depuis la mort du richissime homme d'affaires, les enfants se livrent une guerre sans merci.Par médis interposés, les fils et filles se font se livrent à des joutes verbales qui ne disent pas leur nom. cette fois, c'est l'une des benjamines christelle Nadia Fotso , qui sort de sa reserve pour fustiger les évènements ayant eu lieu lors d'une messe en l'honneur de leur défunt père.

Voici la teneur telque publié également par nos confrères d'actucameroun.com:

«Les gendarmes de Mbouo, une histoire encore plus idiote que toutes les histoires. On n’avait encore jamais vu cela à Bandjoun, sans doute au Cameroun et sur le jeune continent. On aurait cru au tournage de la suite de la fabuleuse série de films de Louis de Funès Les gendarmes si l’occasion n’était trop solennelle pour cette farce tellement pathétique et grossière qu’il faut en rire, seul Victor Fotso mérite des larmes : le 19 mars dernier dans la résidence de ce patriarche alors que ses enfants et leurs mères finissaient une messe pour le premier anniversaire de sa mort, le Général Je la dis que a débarqué avec deux camions de gendarmes armés jusqu’aux dents.

Que venaient-ils faire là ? Venaient-ils combattre vaillamment des Ambazoniens, des séparatistes, ou des terroristes de Boko Haram planqués parmi des orphelins ou nettoyer enfin le caveau familial afin de permettre à Fotso de se reposer sans se décomposer en dégageant des odeurs pour rappeler qu’il est mort le ventre gonflé ? Que nenni ! Ils avaient une mission encore plus noble et plus existentielle pour le Cameroun : permettre à Je la dis que et sa batoufemme, cette chèvre sans tripes qui ne mange que de la céréale de Madrid de jouer à la poupée dans la résidence de leur victime en jouissant sans entrave petitement des fruits de leurs crimes.

Ces gendarmes étaient-ils des mercenaires ou de pauvres soldats camerounais dépêchés pour légitimer l’infâme ? Nul ne le sait. Cependant, pour la première fois dans les Grassfields, l’armée a été privatisée et servit de baby-sitters à de vulgaires chasseurs de rats confirmant ainsi la Thénardisation du Cameroun. Jamais, Fotso, Noutchogouin, Kadji, Sohaing, Mokam n’avaient et n’auraient osé. Je la dis que l’a fait en montrant que les chiens ne font peut-être pas des chats mais peuvent engendrer des serpents que tout l’argent du monde ne peut empêcher d’être gaou ! Je la dis que joua avec sa Barbie docile qui peut pourtant citer Martin Luther King.

De manière éhontée et villageoise, elle se pavana entourée d’hyènes, d’ânes et de mouches y compris un Roi dont seul l’appât du gain explique la présence en déféquant sur le sacré pour occulter une évidence : l’argent n‘achetant pas la grandeur et ne donnant pas un cœur intelligent, il vaut mieux Kamto que Toukam ! Le porc maquillé et sa batoufemme qui ont pourtant le temps de faire écrire de longues lettres sans objet, l’une à son frère pour bomber le torse sans cacher ses vieux seins qu’on ne saurait voir, l’autre aux Lions indomptables pour faire oublier qu’il est le Q de LGBTQ puisqu’il a vendu ses bijoux de famille à un vampire, n’eurent ni un moment ni un regard pour ceux qu’ils écrasèrent. Leurs sans-dents sans couilles à l’arrivisme et au pouvoirisme tapageurs dansèrent sur la tombe d’un patriarche en narguant la concession, l’histoire et les traditions du Dernier Bamiléké dans un village sans mémoire qui n’a plus que de l’orgueil et de la fierté mal placés…

La preuve fut faite qu’en chaque « élite » Bandjoun sommeille un tchinda affamé prêt à vendre son honneur et son âme tel du piment à trente pièces d’argent en acceptant toute sorte de perversion. Il faut urgemment brûler Bandjoun. Où comme chez les Fotso, les vagabonds sont au pouvoir ; les derniers sont premiers et en haut ! Le je la dis queisme règne puisque l’obscurantisme et la médiocrité sont des banalités et des fatalités.»