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«Empoisonnée par un jus de Coca » révélations effroyables de l'avocat de Mirabelle Lingom

L’activiste et lanceur d’alertes Paul Chouta, relate les confidences de l’un des avocats de la jeune Mirabelle Lingom, décédée dans les conditions totalement troubles. L’on apprend que c’est après avoir consommé un jus de Coca que son malaise a commencé.

Lecture !

La mort suspecte de Mirabelle Christelle Lingom continue de faire couler beaucoup d’encres et de salives. Entre empoisonnement et mort naturelle, les débats vont dans tous les sens. Mais une réalité demeure, le départ de cette jeune fille calomniée et diffamée par certains cadres du Pcrn reste mystérieux.

Nous essayons cahin-caha à notre niveau de mener les investigations pour faire la lumière sur ce décès. Au cours de notre enquête, l’un de ses avocats, Me Cheikh Al Assad nous a fait des révélations troublantes inhérentes à la mort de Mirabelle Lingom. Avant de vous livrer le contenu de ces révélations, permettez que nous précisons que :

– Christelle Mirabelle Lingom a été accusée injustement sur internet d’avoir figuré dans une sextape ;

– Elle a été violée alors qu’elle rentrait du travail ;

– Alors qu’elle a été diffamée, elle a été accusée par l’un de ses bourreaux de diffamation et une plainte a été déposée contre elle.  Nous vous convions à l’instant de prendre place dans le bus de ces révélations inédites de Me Cheikh Al Assad qui nous

« Il y’a environs une semaine elle m’a appelé dans la nuit aux alentours de minuit pour me dire qu’elle ressentait des violents maux dans le ventre. Je lui ai demandée ce qu’elle avait mangé en journée et elle m’avoue qu’elle a pris une coca avec des ‹‹ gens ›› et qu’elle s’est rendue compte que dans la bouteille il y avait des déchets.

Je l’ai grondée en lui reprochant son imprudence. Sur le champ j’ai appelé une connaissance pour lui raconter et je lui ai demandé s’il était possible de la faire interner dans la clinique d’une autre connaissance. Il m’a répondu par l’affirmative. J’ai donc rappelé la fille et je lui ai recommandée de se barricader pour la nuit et de me faire signe le matin.

Le lendemain elle m’a appelé et m’a dit que toute douleur avait disparu. On a plaisanté. On est resté en contact tout le temps. Le 2 septembre elle m’écrit pour me dire que ses jours sur terre sont comptés. Ça m’a effrayé et j’ai pensé qu’elle voulait se suicider. De ce jour je l’ai contacté constamment.

Samedi on s’est parlé et je lui ai promis que j’allais la sortir en soirée pour lui permettre de changer d’air. Ce samedi je devais me rendre à Tiko. Le soir elle m’a rappelé pour me demander si j’ai fait bon voyage et je lui ai répondu que finalement je n’avais plus voyagé ». Joint au téléphone, un parent à Mirabelle nous confirme cette version en nous faisant savoir qu’elle la lui a raconté. Ce parent est catégorique : « Mirabelle a été empoisonnée ».

Des éléments en notre possession, elle confie à quelqu’un avant sa mort : « Je pense que ma mission sur cette terre s’achève là. Je suis déterminée plus que jamais, je crois que j’ai déjà traversé les plus pires étapes de ma vie ». Une enquête minutieuse est urgente pour élucider la mort de Mirabelle. Une autopsie s’impose. Un listing de ses appels en passant par l’exploitation de son téléphone urge.