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Groupe l’Anecdote : depuis Konengui, Amougou Belinga « coupe » 15 têtes à Vision 4

En détention à la prison principale de Yaoundé Kondengui dans le cadre de l'assassinat de Martinez ZOGO, Jean Pierre AMOUGOU BELINGA le patron du groupe l'Anecdote a encore asséné un coup douloureux à certains de ces employés de Vision 4.

Après la vingtaine de personnes licenciées de Vision 4 en avril dernier, le Zomloa des Zomloa vient encore d'envoyer 15 autres personnes au quartier pour des raisons économiques.

Parmi ces personnes licenciées, on peut par exemple citer Créscence OWONO, Etienne MBALA , Claude MVILONGO etc. Il leur a été promis des redressements en solde. Oisifs, ces employés font quand-même des navettes au siège de Vision 4 espérant que les choses changent.

Mis en congé technique depuis bientôt 2 mois, Martial OWONA est stressé par le chômage. Il est subitement devenu un grand proverbier et discipline de Bacchus faisant le tour des débits de boissons à Yaoundé en tournant les reins comme une wolowos qui danse le Mbolé à Nkolndongo.

Selon des rumeurs, Amougou BELINGA bien qu'étant en prison est toujours très arrogant. Des mauvaises langues, espérant qu'elles soient vraiment mauvaises, disent qu'il intimide parfois certains gardiens de prison qu'il menace de faire affecter.

Ces derniers temps, une série d'avocats  étrangers commis par Amougou BELINGA et EKO EKO font des navettes à la prison principale de Kondengui. Ils font des dizaines d'heures de réunions sans interruption avec ces deux prévenus. Nos informateurs subodorent qu'ils se préparent sérieusement à contre-attaquer.

En outre des médecins spécialistes des maladies mentales rendent régulièrement dans ce pénitencier pour "prétendument" traiter AMOUGOU BELINGA qui souffrirait de troubles psychiatriques aggravées. Certains personnels de la prison doutent qu'il soit aussi malade que ça. En revanche, ils soupçonnent la préparation minutieuse, d'un stratagème,  d'une entourloupe juridique en vue d'évoquer le moment venu soit la démence soit la folie. Or, en droit pénal on ne peut pas juger un dément ou un fou. En conséquence, on ne peut ni le condamner ni à vie et encore moins à mort. Ou dans une hypothèse moins grave, il cherche un moyen pour se faire évacuer sanitairement et définitivement par ses puissants amis et réseaux dans une clinique en ville où à l'étranger.

L'opinion rester mobiliser et  très très vigilante sur les avancées ou L'ENLISEMENT et les piétinements observés dans le dossier de Martinez Zogo.

 

Paul Chouta