Des gendarmes camerounais ayant infligés la torture au « général » de l’Ambazonie accusé d’avoir perpétré plusieurs assassinats dans le cadre la crise anglophone devraient répondre de leur acte. C’est en tout cas ce qu’indique un communiqué radio-presse du ministre de la défense Joseph Beti Assomo signé ce 15 mai 2018.
« Son interpellation après une résistance musclée de sa part a été filmée et a donné lieu à une vidéo dans laquelle le mis en cause est malmené et logoté manifestement par les hommes en tenue sorti des normes et technique légales en pareille circonstance. Une enquête a été ouverte pour identifier, et le cas et échéant, sanctionner les auteurs de ces agissements contraires au respect droits humains », peut-on lire dans le communiqué.