Le président du syndicat National des journalistes du Cameroun (SNJC), Denis Nkeubo, multiplie des tweets, et interroge la démarche déontologique d’Equinoxe TV, qui, a produit une série de reportages au vitriol au journal de 20H du vendredi 21 novembre 2020.
La «chaine du peuple » s’est surtout défendue des accusations portées contre elle par le média d'Etat, la CRTV dans ce que les médias appellent désormais « Affaire Stéphanie Djomo ».
En réaction, Denis Kwebo, président du SNJC et ex rédacteur en chef de quotidien Le Jour, s’est fendu d’une série de tweets, interrogeant la démarche déontologique du média basé à Douala.
Les faits présumés se sont déroulés entre Kumba et Mbanga. L'enquête se déroule à Bonakouamouang et Mballa 2. Les juges sont sur Facebook. Le populisme médiatique est porteur de division et de guerre.
— NKWEBO DENIS (@DENISNKWEBO) November 21, 2020
Equinoxe-CRTV: théâtre du chocolat.
— NKWEBO DENIS (@DENISNKWEBO) November 20, 2020
Donnez les noms et prénoms des jumeaux ou jumelles de Dame Djomo, le jour, l'année de leur naissance, ceux de leur décès, le nom du village où les enfants sont morts. Quelle distance parcourue par la pleureuse à pied? Dame Djomo fuyait seule?
Ils se rendront finalement compte que le journalisme n est pas un métier de simple bon sens. Il faut prendre au moins quelques cours. Au bon endroit
— NKWEBO DENIS (@DENISNKWEBO) November 20, 2020
La rue et la foule ne sont pas des repères professionnels pour un journaliste.
— NKWEBO DENIS (@DENISNKWEBO) November 19, 2020
La charte professionnelle est notre seule et unique boussole.
Quand le torent emporte un idiot, il est convaincu qu'il se balade
— NKWEBO DENIS (@DENISNKWEBO) November 19, 2020