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Souley Onohiolo aux supporters de Samuel Eto’o « Doit-on tordre le cou au droit parce qu’il faut protéger l’image d’une icône camerounaise ? »

Sur Canal Presse ce dimanche 13 août, le journaliste a réagi aux accusations portées contre Samuel Eto'o et à l'ouverture d'une enquête par la CAF.

Dans son intervention, Souley Onohiolo a critiqué les partisans de Samuel Eto'o qui cherchent à minimiser les accusations à son encontre en raison de son statut d'icône. Il a rappelé les cas de Michel Platini et Sepp Blatter, anciens dirigeants de la FIFA, qui ont été débarqués suite à des enquêtes.

Le journaliste a ainsi posé la question de savoir si l'on doit sacrifier le respect du droit et la justice pour protéger l'image d'une icône camerounaise. Selon lui, il est important de faire la lumière sur les accusations et de ne pas fermer les yeux sur d'éventuelles forfaitures, quel que soit le statut de la personne concernée.

Cette déclaration de Souley Onohiolo intervient dans un contexte où la CAF a annoncé l’ouverture d'une enquête à l'encontre de Samuel Eto'o pour « comportements inappropriés présumés ».

Grand Reporter au quotidien Le Messager, Souley Onohiolo rappelle que personne ne devrait être au-dessus de la loi et que les enquêtes doivent être menées de manière impartiale, quel que soit le statut de la personne concernée. Il souligne ainsi l'importance de la transparence et de la justice dans ce genre d'affaires.

Il reste à voir comment cette enquête de la CAF évoluera et quelles seront les conséquences pour Samuel Eto'o. En attendant, les déclarations de Souley Onohiolo rappellent l'importance de la transparence et de la justice dans le monde du sport, quel que soit le statut des personnes impliquées.

Rappelons que le Comité Exécutif de la Fécafoot a décidé de voler au secours de son Président. La Fecafoot a déclaré être « surprise et outrée par une telle démarche adoptée par l’instance faitière du football continental qui, ayant reçu les plaintes des prétendus "acteurs du football camerounais" dénonçant des "comportements répréhensibles", n’a pas jugé utile de la saisir officiellement ».