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Polémique : Auto Auto, le ministère religieux au centre d’une cabale au Cameroun

Le Ministère International de la Puissance et de la Résurrection de Christ (MIPRC) Auto Auto, fondé par l’Apôtre Charles Passo, dirigé au Cameroun par le Révérend Pasteur silas Affolabi Chabi Silas, est actuellement la cible d'une campagne de lynchage médiatique infâme. C’est suite au décès d’une de ses fidèles, la nommée Nkouah Ayissi Mélissa.

Un tourbillon de mensonges dans l’Eglise du Seigneur Jésus-Christ. C’est en tout cas, ce que laisse croire la situation dans laquelle se retrouve le MIPRC Auto Auto au Cameroun depuis quelques semaines. On parle d’une véritable cabale qui découle du décès tragique de la fidèle Nkouah Ayissi Mélissa, une jeune femme membre de la chorale du MIPRC, décédée dans des circonstances qui alimentent des rumeurs et des accusations injustes à l'encontre du ministère.

Selon les faits rapportés à 237Actu.com, tout commence le 28 août 2024 à Yaoundé. Ce jour-là, la jeune Nkouah Ayissi Mélissa, alors qu’elle se trouvait en détresse physique, serait décédée dans un taxi pendant que son petit ami, ancien pianiste de la chorale du MIPRC, l'accompagnait en urgence vers un hôpital. Selon des sources concordantes, le jeune homme, qui avait quitté le MIPRC pour rejoindre une autre congrégation religieuse, était accompagné des membres de sa nouvelle église au moment de cet incident tragique. Les deux jeunes gens s’étaient rencontrés au sein du MIPRC, où ils avaient noué des liens qui se sont poursuivis au-delà du cadre strictement religieux. Bien que son petit ami ait quitté le MIPRC, Nkouah Ayissi Mélissa avait choisi de rester fidèle à cette communauté religieuse, malgré le départ tumultueux de ses parents du ministère. Ces derniers avaient coupé les ponts avec l’église dans des circonstances peu claires, laissant place à une tension sous-jacente.

Une campagne bien orchestrée

À la suite de ce drame, les voix se sont levées, principalement du côté des parents de la défunte, accusant le MIPRC, et plus particulièrement le Révérend Silas Affolabi Chabi, de pratiques mystiques qui auraient conduit au décès de la jeune femme. Cette accusation, infondée selon les proches de l’église, a été relayée par des personnes mal intentionnées, amplifiant ainsi une campagne de désinformation et de manipulation visant à ternir l’image du ministère. Le Révérend Silas Affolabi Chabi, connu par ses fidèles pour son engagement spirituel et son intégrité, n’a pas tardé à réagir face à ces attaques. Il s’est personnellement impliqué dans l’enquête, collaborant étroitement avec les forces de l’ordre pour faire toute la lumière sur cette affaire. C’est d’ailleurs grâce à son intervention dit-on, que les premiers suspects ont été identifiés et entendus dans le cadre de l’enquête préliminaire.

La propagation des accusations mystiques et des théories complotistes sur les réseaux sociaux et dans certains médias locaux a profondément affecté la réputation du MIPRC. Le ministère, qui compte des milliers de fidèles à travers le pays, se voit ainsi plongé dans une tempête médiatique alimentée par des informations fausses ou déformées. Les réseaux sociaux, en particulier, jouent un rôle central dans la diffusion de ces rumeurs, offrant une tribune à ceux qui cherchent à discréditer l’institution religieuse.

Un tissu de mensonges

Pour les responsables du MIPRC, ces accusations sont non seulement infondées, mais relèvent d'une volonté manifeste de nuire à leur mission spirituelle. Ils estiment que les parents de la défunte, en proie à la douleur, sont manipulés par des individus cherchant à instrumentaliser ce drame pour des fins inavouées. Un appel au discernement et à la vérité. Face à cette campagne de dénigrement, les responsables du MIPRC appellent au calme et au discernement. Le Révérend Silas Affolabi Chabi, dans une récente déclaration, a exhorté les fidèles et le grand public à ne pas se laisser manipuler par des rumeurs non vérifiées. « Nous devons faire confiance à la justice et aux autorités compétentes pour mener cette enquête à son terme et faire éclater la vérité », a-t-il affirmé. Le ministère se dit confiant quant à l’issue de l’enquête, tout en regrettant que des individus utilisent ce drame pour alimenter des conflits religieux et ternir l’image de l’église.

Les membres de la communauté continuent de manifester leur soutien indéfectible au Révérend Silas Affolabi Chabi et à l’ensemble des responsables du MIPRC. Une enquête en cours. Les autorités en charge de l’enquête travaillent activement pour élucider les circonstances exactes du décès de Nkouah Ayissi Mélissa. Jusqu'à présent, aucun élément concret ne permet de lier le MIPRC ou ses dirigeants aux accusations de mysticisme qui circulent. Les premiers témoignages recueillis, y compris ceux du petit ami de la défunte, n’apportent aucun soutien à ces théories. Le MIPRC espère que la vérité triomphera rapidement et que justice sera rendue à la mémoire de Nkouah Ayissi Mélissa, dont le décès reste une perte tragique pour sa famille et pour l’ensemble de la communauté chrétienne à laquelle elle appartenait.

Dans un contexte où la désinformation et la manipulation deviennent des outils de destruction de la réputation, il est plus que jamais essentiel de vérifier les faits avant de relayer des accusations graves. Le Ministère International de la Puissance et de la Résurrection de Christ, victime de cette campagne de dénigrement, espère que la justice permettra de restaurer la vérité et de faire taire les rumeurs malveillantes.